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Publicités d'époque - TR250 BrettMontriond
BrettMontriond
Ce mardi, « It’s what’s up front that keeps you out front » - un slogan audacieux pour la TR250, quand on sait ce qu’elle a perdu comme puissance par rapport à la TR5. D’autant plus quand on s’adresse à un public US habitué à cette époque aux muscle cars qui dégomment autrement …en ligne droite!
On relèvera le joli montage photo montrant le moteur en transparence sous le capot, rappelons que nous parlons d’une ère préhistorique de l’ordre de 30 ans avant Photoshop… 
BrettMontriond
Petite pub tirée de la presse US …qui prépare surtout à celle de la semaine prochaine !
BrettMontriond
Triumph avait initié avec les TR3 un 'overseas delivery plan' fort intéressant pour ses clients américains qui le souhaitaient. L’idée était avant tout de bénéficier d’un avantage fiscal, mais aussi de le tourner en coup marketing. En gros, des voyages vers l’Angleterre étaient organisés pour les acheteurs américains, qui prenaient livraison de leur TR3 à l’usine Triumph (avec une petite cérémonie comme les aiment les Américains), puis découvraient l’Europe au volant de leur nouveau bolide, avant de le raptrier aux USA lors de leur retour. Je ne sais pas de quelle manière cette opération a été continuée par la suite, mais quoi qu’il en soit il était toujours possible d’acheter sa TR250 selon un 'overseas delivery plan', comme en atteste ce document de 1968 : 
BrettMontriond
Et au Canada, alors? C’est également la TR250 et non la TR5 qui était importée. En témoigne cette pub, dans la même veine marketing 'anticonformiste' que ce qui était proposé aux USA :
BrettMontriond
On poursuit notre interlude canadien en direct live différé de 44 ans de Toronto:
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Retour à une pub pour l’European Delivery Plan. Vous constaterez que les prix ont pas mal changé par rapport à la pub antérieure que j’avais postée le 17 avril, où la TR-250 livrée à l’usine était affichée à $2325…
BrettMontriond
…overseas delivery plan toujours :
BrettMontriond
Une société du nom de NEMET s’était spécialisée dans ces livraisons hors territoire US, avec en particulier comme clientèle-cible les soldats américains.
Elle importait toute une série de marques européennes à des conditions avantageuses, dont, vous l’aurez deviné, Triumph : 
BrettMontriond
Les concessionnaires Triumph US avaient reçu toute une palette de matériel promotionnel bien dans l’air du temps pour le lancement de la TR-250.
Commençons par ce poster à afficher dans les concessions : 
BrettMontriond
…et puis il y avait les pin’s, toujours sur le thème de la TR-250 comme preuve d’anticonformisme :
BrettMontriond
…et encore les autocollants groovy (“TR-250, for lovers only (sports car lovers)”)
BrettMontriond
Voici une pub parue tout à la fin de la brève carrière de la TR-250, puisqu’elle est tirée du numéro d’Octobre 1968 d’Esquire. Du coup, elle synthétise le contenu d’autres pubs déjà vues plus haut…
tr5passion
BrettMontriond
tr5passion
BrettMontriond
Non non, il y a un truc! Alors voilà, supposons que vous viviez au Québec dans la région de Chicoutimi. Nous sommes en 1968 et vous êtes convaincu par ces pubs, ça y est vous voulez acquérir une Triumph TR-250 et triompher de la conformité! Donc, vous regardez dans la brochure des agents Triumph ci-dessous, ah, vous avez de la chance, il y en a justement un à Chicoutimi comme indiqué en haut de la page 26. Vous ne le savez pas encore, et lui non plus, mais il va devenir célèbre dans le domaine de la mode d’ici quelques années…
tr5passion
BrettMontriond
Cette semaine, le document qui fâche, usage récent de la TR-250 dans un flyer par un marchand de voitures des Midlands, qui vous enjoint à vous débarrasser de votre vieille bagnole polluante, illustrée par une TR-250, pour passer à un véhicule moderne, propre et économique… L’aseptisation de la société est bel et bien en marche, les amis! 
JTcode56
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